Si l’entrée éventuelle des poupées sexuelles destinées aux hommes a déjà fait l’objet de discussions houleuses sur les réseaux sociaux et dans certains médias traditionnels, ce n’est pas encore le cas pour les sextoys destinés aux femmes — interdits d’entrée au pays — mais librement utilisés. Comme tant d’autres, l’utilisation de cet objet de plaisir constitue un sujet tabou, donc très peu abordé. Enquet’Action a confronté pour vous la réalité juridique avec celle de tous les jours.
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