Être un joueur de seconde zone dans une société sans fondement, c’est être beaucoup plus vulnérable qu’un ballon en chute libre abandonné dans le vent le plus vagabond. Et, coincé sur cette terre où l’establishment politico-financier qui règle la vie sur le bout d’un fil ne reconnaît au citoyen lambda, nul droit de rêver, c’est être exposé au danger d’être un rien du tout, mais surtout, celui d’êt